Caprins
La filière en chiffres
- 1er bassin de production
- 1113 élevages (dits professionnels)
- 300 000 chèvres 32% DU CHEPTEL FRANÇAIS
- 64 000 tonnes DE FROMAGE INDUSTRIEL (pur chèvre)
- 77% DE LA PRODUCTION FRANÇAISE (tout fromage pur chèvre, sauf fondu)
(©IGN – Source : BDNI).
Nos actions
La FRGDS et les GDS mènent des actions auprès des éleveurs afin de lutter contre les maladies caprines.
- Privilégier les échanges, la concertation et la mutualisation de compétences afin que tous les départements de la région puissent profiter des savoirs de chacun des GDS
- Élaborer des plans de maîtrise contre les principales pathologies d’élevages de chèvres (CAEV, avortements, paratuberculose, mycoplasmes, parasites internes…)
- Développer la compétence des éleveurs sur l’antibiorésistance, le bien-être animal, la biosécurité ou la santé des jeunes animaux (audit colostrum, diarrhées …)
- Défendre les intérêts des éleveurs auprès du Conseil Régional, entre autres, afin de pouvoir aider financièrement certaines actions sanitaires
- Représenter les éleveurs de la région au sein des instances nationales de GDS France
L’objectif étant que chaque éleveur de la région, puisse bénéficier d’un service identique sur les principales maladies qui nous préoccupent. L’interlocuteur des éleveurs reste le GDS départemental, qui continue à mener à bien ses propres missions au service de ses adhérents (renforcé si besoin par les compétences des autres GDS)
Un portail internet sur la santé des chèvres
Le portail « Santé des chèvres » a pour objectif de regrouper des liens utiles vers des informations fiables sur la gestion de la santé des chèvres, à destination des éleveurs et de leurs conseillers.
Ce portail est animé par l’observatoire des maladies caprines OMACAP de la FRGDS Nouvelle-Aquitaine et s’appuie notamment sur les travaux réalisés par la Commission Sanitaire Caprine du Grand-Ouest, réunissant un ensemble d’acteurs impliqués dans la santé des chèvres (éleveurs, vétérinaires, techniciens, laboratoires, laiteries, chercheurs, services vétérinaires et groupements de défense sanitaire). L’OMACAP est en partie financé par l’ANICAP et le Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine, via le BRILAC.